J’ai senti des échardes irradier tout mon coeur Pour avoir le carrure et sortir de l’impasse Des lumières blafardes et leurs lots de rancoeur Adopte, autre parure, extraits toi de la nasse
Le sentier est grandiose et sa liesse en spirale Nous autres fétus si grêles sommes bribes à la parade Alors ce soir, qui ose ? Qui montre ses fesses ? Qui râle ? Demeurons-nous des brêles ? Petits scribes, d’estrades ?
Courir la nouvelle frange, la gueuse de nouvel An ! En un sursaut viril, cher toi ! L’homme étouffé… Et même si ça dérange, t’as encore tout(e)s tes dents
Laisse les à leurs nombrils, retrouve l’envie, l’effet Nouvel An, nouveau Gange, vois le buisson ardent Pour un meilleur avril, soit ton printemps parfait…