Sortir de ma tanière où cuve mon whisky, Prendre un petit panier, une lame, un outil, Aux champignons, derrière la sente des huskys Ou au pieds des pruniers, à côté du fournil,
Je marche pour te trouver, ma chère inspiration Et tandis que récolte, rares cèpes et girolles, Les âmes éprouvées bloquent ma respiration. Faire mouche et songer : “colt !”, là, mes pensées s'affolent…
Rejoindre la lumière, enfin sortir du bois C’est bannir les écrans, son oreiller en vrac ? Puis changer de crémière ? Pour subir d’autres lois ?
Pelouse de la voisine, ni plus verte, ni plus tendre, Les bans sont des carcans, fastidieuse course en sac, S’empilent les magazines, où le monde est à vendre…