Chère rebelle au parfum, de fleurs sauvages, bohèmes Tes effluves symphonies sont authentiques vérités Elles parlent d’amours défunts, pierres dans mon pré de poèmes Si le centaure hennit craint pour ta chasteté
Une étrange alchimie guide ma plume romantique Enfin je fends l’armure et me dévoile à la muse La passion s’affermit pour les Vestales Antiques Si Ema chante, murmure, c’est son âme qu’elle amuse
Promesses de voluptés sont toujours déguisées Une fleur épanouie, elle manque à mon jardin A trop compter mes étés, me voilà épuisé
L’être véritable, inouï agira sans dédain Le récit a capté, car point de billevesées La rencontre de minuit conserve le ton badin…