Si on se disait : “Adieu” ! Tant qu’on a le temps ? Nul n’est éternel, truisme populaire Si on se disait : “Je t’aime” ! Tant qu’on a le temps ? Douceur maternelle, sans droits d’inventaire
J’ai tourné les pouces, cent fois en chemin Et traîné des pieds, battu la poussière Constante est la frousse, peur des lendemains Etrennes pillées, souvenirs d’hiers
Oracle des yeux chats habite mes rêves Bastet la déesse regonfle ma joie D’amour me touchât de façon trop brève
Son sistre, sa caresse, un plaisir bourgeois Nos derniers achats, la course sans trêve Déprime et détresse, supplice Albigeois…