Mes pensées se tournent toujours vers toi, boomerang ! A peine quelques instants de répit, te voilà S'il le fallait, je le dirais dans toutes les langues Je t'aime depuis l'enfance, quand tu dévoilas
En offrande, les trésors d'une vierge farouche Tendre et respectueux je ne t'ôtais pas ta fleur Depuis, demeure le goût de tes lèvres sur ma bouche Tous les jours, sous la pulpe de mes doigts, je t'effleure
Pourquoi le nier ? Je demeure le même fou… Perpétuelle envie de t'enlacer dans mes bras Et toujours ce désir de voir sous tes froufrous
Avec toi réinventer le Kâma-sûtra T'embrasser et danser toujours au garde à vous Chanter, réciter des "je t'aime" comme des mantras