Ton prénom tourne en boucle dans ma tête Je sais mon amour voué à l’échec Bien trop tendre, le vert de tes fossettes… Peine perdue, avec ma gueule de métèque
Les jours ont passés, le charme demeure Et je ne parviens pas à t’oublier Quelque chose enfle, comme une clameur… Quelle douleur ! Ces bans, jamais publiés
Je continue de vivre, coquille vide… Et quand te reverrais-je ? Je ne sais ? Plus rien n’a de goût ! Tout me semble aride Tes yeux me disaient-ils “vas-y” ! “Essais” ! ?
Un désir obscur me ronge maintenant Comment arranger une nouvelle rencontre ? Car à moins que tu changes de continent L’un pour l’autre, sommes faits, je te le démontre ?