L’histoire est entendue, et bien connue de tous : « Pour une femme_conquérir, il te faut la faire_rire » La recett’ paraît simple, je veux la faire_fleurir ! Que mon esprit pétille, allégé de sa frousse.
Eviter les poncifs, les formules qui s’émoussent, L’humour trop réfléchi, qui n’arrach’ qu’un sourire ; Ne pas vouloir non plus être drôle à mourir, Juste cueillir l’instant, comme une jeune pousse.
Mais je ne veux pas mettre ces spasmes en équations ; Ils peuvent désamorcer ma naïve passion Et balayer d’un coup, mes pensées dévoyées.
Justement cett’ passion me paraît bien risible Même à bout portant je rate toujours ma cible ! Moque toi donc de moi, à gorge déployée !