Souvent mon front soucieux, comm’ celui d’un vieillard, Je le vois dans vos yeux, sincèr’ment vous rebute, Mais c’est qu’en moi toujours, se livre cette lutte Entre un enfant craintif et un homm’ plein d’espoir.
Sitôt qu’un être exquis daigne_près de moi s’asseoir, Sans même le savoir, elle_précipit’ ma chute Dans un grand maelström de furie et de luth, Fait de moi un bambin, pressé de tout avoir !
« Enfant monomaniaque », n’est pas vraiment une_tare, Mais l’adulte blafard apparaît tôt ou tard, Qui au lieu de séduire, essaie de Te surprendre.
« Le cœur a ses raisons que la raison ignore » Oui mais mon cœur est sourd, et ma raison a tort De crier un chemin qu’il ne peut pas entendre…