Vers cet instant sublim’ converg’ ma volonté, Je te vois et ne pense plus qu’à te cueillir ; Suis-je devenu fou, t’ai-je vu me sourire ? En tout cas je le crois, tu m’évoqu’ la bonté.
Et je n’ai plus qu’à faire un p’tit pas de côté. Mais lors arriv’ la source_de mon prochain martyre, Ce démon infernal qui me fait tant souffrir, Cet abandon stupid’ que je vais regretter.
Pour une si grande erreur, que ne suis-je_foudroyé ? Comment peut-on ainsi ses élans dévoyer ? Laisser prise à ce monstre, ce ternisseur de vie ?
Je me jure_de le tuer ; il me vol’ ces instants Où célébrer tes grâces, celui qui, inquiétant, Tapi dans mon miroir, du bonheur me dévie !