A l'aube de tes 17 ans, Une ombre ôte les aiguills du temps : Supprime ton avenir, Ainsi que tes quelques soupirs... Tu disparais pour toujours, Toi qui voulais tant connaître l'amour. Parents, amis te pleurant Et une douce tombe t'attendant. Une absence peu méritée, Pour quelqu'un si proche de la divinité... Ton âme s'est envolée au loin, En regardant le ciel, de moi tu prends soin. Tel mon ange-gardien, Lorsque je failis, tu me soutiens... Qui es-tu maintenant? Ange ou peut-être enfant...