Dans un de ces airs stridents Là où le cœur se décourage, Et là où le regard se suspend, Une pensée se perd dans la rage.
Le visage qui s'offre au souffle du vent La larme qui s'aiguise et se retranche Vers le corps contrefait de souffrance Elle murmure et met fin à son essence.
Une note se soumet et se suspend Vers le ciel qui s'assoiffe, De solitude, elle se trouvait agonisante, Et là voilà qui tisse sa toile.
Et si son cœur se faisait violence Combattant pour déposer lumière à sa vie Son esprit de volonté se désenchante Et fit donc pacte ave le sinistre.
Là où le cœur se décourage Et là où une pensée se perd dans la rage Il n'y a que fin inéducable C'est dit-on le destin inchangeable.