Si juste un an j'arrêtais de tant voyager, Prendre bien le temps de me reposer, Mais cette vieille peur que tout va changer, Que durant ce temps j'aurais régressé,
Mais alors que faire, Pour oublier les guerres, Et lorsque l'hivers, Blanchit tout le vert, Mais alors que faire?
J'ai tant donné sans jamais compter, Écris tant d'éloges à la beauté, Que d'une main de fer ma liberté, Me poursuivra même où j'irais pleurer,
La nature est si belle les gens sont si beaux, Que j'ai du mal à m'y faire même un peu trop, Si un jour je trouve le chemin qu'il faut, J'irais toujours me perdre pour un dernier repos.