Vous qui avez tant vécu, tant à revivre, Mes amis du déjà-vu, à se survivre, L'emprise des écus, de faux cuivre, Nous aura perdu, si ce n'était du livre,
Par delà les sentiers, piétinés sauvagement, Nous fondons l'amitié, bien savamment, De permettre de rester, gré des vents, Pour ainsi déplacer, rêves de sable blanc,
Je tu il nous vous sommes, Un peu maladroit en somme, À se partager douce pomme,
Nos amours, saisons disparues, Tristes, mais éclairant les rues, D'une envie de vivre en continu.