Le temps n’ajoute rien à tout ce que je sais Même si le propos apparaît péremptoire Et que d’aucune part je n’aie échappatoire Je ne resterai pas debout au bord du quai.
Je suis tellement las du confort du jouet Que même un petit rien amuse et me distrait Le bonheur fort subtil du croqué dans la pomme.
La vanité du mâle ou sa crédulité Les artifices vains et la futilité De femme dont on dit, c’est l’avenir de l’homme
Tu dirais pis que pendre, encor je serais gai Quand bien même engoncé dans la rude avaloire Ton sourire éhonté tel fastueux pourboire Un luxe à l’obsession, invite à divaguer.