Son âme loin de s'envoler S'est expulsée du corps de l'être vivant. Tu disais ne point l'aimer Mais moi, je t'ai vue pleurer. Ces pleures qui me hantent jours et nuits. Mais que faire ? que puis je faire ?
Tu me manques, Tu es partie après la mort de celle qui t'as mise au monde. Tu habites loin d'ici, Mais toujours un peu dans mon coeur...
Ce coeur rongée par ma haine, Mon amour et mes peines. Tu l'envahis un peu plus, Mon coeur ne le supportant plus.
Le lendemain des funérailles, Je voyais derrière mes paupières, Ta mère, les cheveux en bataille, Accrochée à une corde, l'air blazé... Comment ce fait t-il ? Comment a t-elle pu ? Elle t'as laissée seule...
Tu disais ne point l'aimer Mais moi, je t'ai vue pleurer. Ces pleures qui me hantent jours et nuits. Mais que faire ? que puis je faire ?
Ton regard, tes gestes et tes paroles me manquent, Je n'ai pu te voir, Qu'à la cérémonie de sa mort. Mes yeux ont débordé, Ont débordé pour toi, L'émotion de voir l'amie chère, Chagrinée et tourmentée...
Ta mère repose à jamais, Mais nous, tes amies, on est là. Tu ne le sens peut être pas.
Un petit renard dessiné sur mon cahier, Un petit mot sur un bout de papier, Une blague racontée, Une histoire inventée, Une petite insulte pour se défouler... Je n'ai plus que ça de toi... Tu me manques...