Dédions ces quelques vers A ce monde à l'envers! Songez y, demoiselles Si charmantes donzelles Vous qui tournez la tête Du plus pur des esthètes, Les dégâts de vos charmes Nous plongent dans les larmes. Un sourire, un clin d'oeil Voilà sans qu'on le veuille Notre coeur amolli Prêt aux pires folies! Et le décolleté, Qui fait votre fierté, Nous fait perdre l'esprit, Même aux plus aguerris. Que dire de la houle Du tissu qui les moule De vos hanches élastiques Ondulantes plastiques?
Chez les anachorètes J'ai cherché la retraite, Mais dans l'austérité, Point de sérénité Aussi je vous le dis Je m'en vais au pays Où prient loin des périls