J’aime passionnément Ces dimanches matin, Quand l’odeur des croissants Change le quotidien ; Lorsque rien ne presse, Que j’oublie le boulot Qu’une grande paresse M’offre un peu son fardeau ;
Si à ce cri d’émoi Tu restes indifférent, Tu devrais, je le crois, Réfléchir fortement ; A vouloir la vitesse, A bousculer le temps, Tu uses ta jeunesse : STOP ! Il est encor temps…