Je quitte la sensation d'éveil qui veille à ma nuit Douce tristesse palpant le riche émoi de l'étoile Je vaux mieux qu'un porc suintant les dégoulinants cris Une mort certaine s'abat sur le calembour de ma toile
La fatigue me prend les gestes que je laisse à l'espoir Pendant ce bref instant de poésie, mon chien s'est endormi L'étoile a pleuré rose bonbon, qu'y a-t-il ce soir ? Dans la brume de mes yeux, pour que je puisse y laisser la v
Il y a ce goût de vomi dans ma trachée bocale, L'anesthésie locale d'un zombie qui se met à pleurer Je vague sur le net, pour y surfer ma pornographie anale Mon recueil a les mains coupées, c'est bien mesuré
Je délire, comme si j'y avais pris mon pied dans la bouteil Pourtant, tout me semble clair, ces mots reflètent la mer L'amer poétique, inassouvi, la frustration pareille Au goéland dans l'aquarium... Qu'est-ce que je peux y fair