De ce monde, je n'en ai que la trace impétueuse du dégout L'audacieuse ritournelle de la télévision ahurie Le cristal amer qui cristallise le tendre et solennelle remo D'une foule usinée sur le plus beau parvis de la vie
L'amitié aux formes abstraites de la pixellisation informat Le clique de pouvoir, et de pouvoir tout savoir, sauf l'ess La constante vague politique qui s'éveille aux rites pratiq L'écluse qui laisse couler la violence ainsi qu'un langour
La pollution de nos âges, par la peur de l'engrenage Une mise en bouteille, et une pensée défiant la libre pensée Le reste de notre amour, mis au profit de vains pâturages Maternité close, qui boucle l'idée de qu'ils ont pu décide
Tout est création, même volupté, ainsi la vie que l'on s'e Une éternelle chaîne de montage comme d'anciennes industrie Nous sommes la copie de la copie de la copie de toutes premi Voilà, va le monde, d'où j'en garde cette trace que, trist