Je suis une auréole glacée Et accrochée à la lune sympathique. Je cris « Désespoir ! » et me couche sur l'été doux Au blizzard incarcéré de mes cent milles nœuds, Et balance mes traits de lumière Aux yeux d'enfants riches.
Les cheveux sous la neige, Et la bouche ouverte qui avale une étoile ; J'étOuffe d'une lueur aphrodisiaque, Et je peins le ciel en noir, Cris au Désespoir.
Pieds mous à l'accoudoir, Et riche envie de tromper le temps, Me décider à nager tous les beaux soirs, Dans les grands temples, les grands miroir d'antan