Verdure qui s'embrase le long de la rivière Rivière qui s'enlace le long des torons de nuage Nuage d'amour aux reflets d'argent de la pleine lumière Lumière qui contemple les orangés de l'après midi
Bleu soleil de mon amour, et nature morte Où ton sein frôle l'horizon de l'extraordinaire Plaisirs de cueillir la fleure sur mon passé humide Langueur de l'étoile qui marche à l'alternatif
Immense cathédrale où l'homme un jour a périt Glaciers de tes larmes glissés à l'amour limogé Amour, genèse de la ruée immortelle, cristal de mes nuits Et mes nuits sans sommeil qui fanèrent le printemps
Crevasse de la tempête machinale qui modernise le temps Le temps risqué de mes jours à t'attendre le long de l'aut Route. Glissage, et d'une ligne blanche marquée le passage De ta couronne astral que je prise pour l'unique nature.