Ô charmants pétales de mort Entourbillonnés par le sort...
Les vois-tu, si près du sol, frôlant sans fin L'asphalte... comme le vent Peut-être caresse la dune et les enfants... Il est vrai, le pétale te dit : « Je ne suis pas le vent, ni le grain ! »
Mais, si la route est pourpre et blanc le sable fin Fanée, flétrie, desséchée... la fleur cependant Recouvrira un jour ton chemin Et tu rentreras dans les rangs !