De ces nordistes travailleurs, Toi,qui t'acharnais au labeur. Tu étais descendu vers le midi, Pour te réchauffer,et ton coeur aussi. Sur les chantiers,tu étais le meilleur, L'été,sur ton visage,perlaient des gouttes de sueur. Toi,mon père le nordiste, Tu m'as laissé un goût amer, Quand tu as voulu quitter cette terre. Je ne t'en veux plus, Pourvu que tu sois au "Paradis Blanc" Entouré des personnes que tu aimais, Et surtout de maman...