Dès le matin une ombre me dévaste, Larmes,néant je ne sais de quelle caste Ni de quel bois le loup qui s'approche,se chauffe.
Je me réveille les larmes coulent, En fait c'est moi qui coule, Tel un bâteau dont la voile est déchiquetée, Il ne me reste que l'ancre pour l'écrire,sauvée.
Lorsque me viennent des vers,je pense au tombeau. Ou inversement,mais c'est beau : Cette connivence entre le désir d'écrire et le désir de mou
Rien de gai à l'horizon,juste quelques menus moments pêchés Jai délaisssé le bâteau et vous regarde vivre,de loin,de mon
Et si l'envie me prenait de réparer mon bâteau,il demeure q Existe un voile,un recul,un pied dans la tombe,qui m'offre
Pour l'élan de vivre...
L'on échappe pas à sa propre déroute, Mais l'on préfère dans ces cas précis,suivre seule cette ro