Ö combien de grâces, Dames, Vous donnerais-je pour approcher, Vos corsages d' ébène et sentir, Sous vos dentelles de soie et vos coiffes dorées, Les douces effluves du poison et mentir, A ma propre pensée: "Dangereuse tu es, prudent je resterai"
Mais je ne peux résister A vos robes de roses , Dames, Brodées sur vos chairs par un simple flacon, Et vous promet ma vie, Mon coeur et mon âme, Dames, Que je mourrai du regard sur vos bas de nylon.