Dans les quartiers perchés règnent l´or et l´argent Avides ils grattent cieux, aujourd´hui les démangent ! S´harassant à chercher la sommité d´agent Menant à vouloir mieux que la part qu´ils ne mangent
Les hautes tours grandissent au-dessus des nuages Se prènnent pour déessent et veulent monopole Cupidité se hissent à travers les étages Aux désirs qui ne cessent de battrent plus hauts vols !
Sous leurs hauts poids rabaissent et veulent assujettir Monde et peuples à symbiose où ne vit que l´entraide Hautains cynismes affaissent alentours pour tarir Bien sûr qu´insatiables osent oublier ceux qui cèdent !
Carèmes sont figures aux pauvres vies défaites Eprises de sanglots sont maintenant ruinées... Maigres ont perdu l´allure et ne connaîtront fêtes D´autres ont touchés gros lots et sont tous fascinés !
Fervents de la maîtrise et de ses sensations Du pouvoir à pouvoir voir leurs jobards au noir L´écroulement s´avise aussi à ceux qui font A l´instar des avares, leurs propres déboires
Partagés sont les faits de hauteurs et de bassesses Car n´existe une acmé sans une forte assise Sur laquelle est levée comme ardente princesse S´écroule qui omet son socle dans la mouise