Des Ligues de sténos s’agrègent aux lieux pâles : On peut voir, lamés d’or, des helvètes brassés ; Des cliquetis verdis de calanques australes Et l’affectif rayon du magma des saignés ;
Je murmure d’Alors des plateaux de latence, L’infini longuement des dorures de jais, Si ce n’est la lumière où l’agrégat noir tance Pour pleurer d’être soi d’être aux serres des rais ;
Dès lors, le toit bâillant de vêpres se préface : Des entités d’algèbre apposent leurs amplis ; Je me vois tel qu’éclot l’horizon de mélasse : À m’y tarir christique en Baïkal demis ;
Il se lève des sons d’extorsion volages Comme des déploiements de chars ultramarins, Je m’entends m’abolir en rancuniers lettrages Dont la graphie appelle un charnier de Festins ;
Si ce que je vois longe un Paradis de limbes… Il faut que je me voie en pareils errements : Récuser le futur pour qu’au sommet les nimbes Gracient de la douleur les jadis désarmants :
Ce sont alors mes yeux de stèles langagières Réflexifs. - Or, moraux de ciel synesthésié, Ils font aériens telle âme des Minières Tel feu qui s’en va clore un sépulcre grêlé.