Qu’éclose ainsi soit-il la Filandre des nuits ! Je le jure : je sais les hallalis des odes ; - Je ne pleure pas plus que tel taf des rhapsodes ; Avouez-moi la peine en atoll. Si je fuis Qu’éclose ainsi soit-il la Filandre des nuits…
Mimez-vous ! Mirifique est l’art des Carmélites ! Ne fais-je qu’impenser dans leur nacre ou leur khôl… Quand l’une d’elles file un azurage-alcool, Je me détruis si plein que Bacchantes sont fuites, Mimez-vous ! Mirifique est l’art des Carmélites !
Dénommez-moi quidam des déments défleuris Quand sermonner pour deux quelque esquisse elliptique ; Sous des graphs olympiens, j’encoche ma supplique : La bleuité des cieux ; si ce n’est dans Paris Dénommez-moi quidam des déments défleuris ;
Sitôt, cœur de tombeau, l’obscurité mentale, Faites madone au Styx du silencieux ciel, Que la lenteur implose à rayon personnel, N’entends-je pas le bruit des canon et chorale Sitôt, cœur de tombeau : l’obscurité mentale ;
Qu’éclose ainsi soit-il la Filandre des nuits ! Je le jure : je sais les hallalis des odes ; - Je ne pleure pas plus que tel taf des rhapsodes ; Avouez-moi la peine en atoll. Si je fuis Qu’éclose ainsi soit-il la Filandre des nuits…