Je n'ose me tourner Je n'ose regarder. Si j'avais tout inventé, Tellement je suis inspiré Quand je pense à lui, A cet amour que je poursuis. Est-ce cette musique Ennivrante, alcoolique, Qui me tourne la tête, M'empêchant d'être honnête ? Non... son parfum dans l'air Déjà me lacère A son image, Garnissant mon coeur Et cette légère page. Maintenant c'est une certitude, Ce n'est que le prélude De notre histoire Qui gravera les mémoires. Je me lance, J'entre dans la danse. Déjà ses lêvres me brûlent Et de plaisir je hurle.