J’achète la mort À qui la vend Pour laisser ce monde Sans peine ni remords J’envie les morts Là, sous terre Fuyant la barbarie des bêtes humaines Quand le diable s’en lave les mains Des horreurs des vivants Je cours me libérer de ce monde Sans tristesse ni regrets Pour une terre insolite Où je suis sûr Que je ne serai pas lésé Dans l’univers Où règne le clément.