Avec mes mains affamées D’un désir insaisissable Je remonte ta rivière déchaînée Et ton volcan en furie. Les yeux fermés mais le corps vif Tu savoures les empreintes de ma salive Éjaculée d’une bouche qui n’est plus mienne. Guidé par la cadence de tes gémissements Éclairé par le feu de tes yeux félins Je me démène sur ta chair ornée d’un plaisir De ce plaisir qui nous fait grimper au ciel Celui suspendu au septième.