En pleine lune dans cette nuit brune en plein soleil de ces rayons vermeils.
Où va le monde ? Où va ce monde ? une guerre qui s’enflamme beauté de ce monde passager succombe et se crame.
Partout, les sangs humains se vaporisent Sur la vitre grise une surprise monde où câliner une bête vaut mieux que faire du bien à ces têtes.
Est-ce de notre siècle, ou à l’époque du suzerain ? Et s’évadent de ce beau matin, ces libertés, ces dignités, roulent, roulent pour enfin échappées à ces cruautés.
Trop court passe comme une flèche le temps, file comme Usain Bolt sur un tapis de fleurs glissantes. Prolifération des armes avilissantes, prolifération des bombes incessantes.
Oiseau de fer, crie lamentable, crie de haine. Oui ! Le monde bouge et change il bouge et change à tel point que le ciel pleure de son porcelaine.
Pandam, pandam, hurle le tam-tam d’une résonance cacophonique s’auto-blâme sous cette réalité mélancolique. Et voilà que s’écroule la nature quel belle-dame.
Soyons solidaire et non solitaire. Soyons emphatique et non diabolique
soyons angélique et non démoniaque Et soyons symbolique et non satanique
Car ce monde nous appartient héritier de ce trône et ces richesses qui détrônent.
Enfants de cet univers, bâtons nous et sauvons ce monde pour les générations futures Qui enfin ne tombent.