Ma vie, un combat plein d’élan et des ébats pleine d’aspiration mais couvert d’aléas et pleine d’obscurité qui se nourrit de ces émois.
Elle marche imprudemment nue dans un ténèbres qui est méconnu vers cette forêt ardemment noire sans rien voir et sans rien prévoir.
Mon âme me dit: Hé monsieur que fais-tu ici malicieux ? à fuir par ci et par là à jalonner ces peurs ça et là, sans arme ni gouma.
Pour te protéger contre les imprudents pour te protéger contre les emmerdants enfin te mettre sous la protection d’Allah et pour d’autres sous l’armure du Boudha.
Tu vois, je sais que tu me juges et ces pensés qui te barrottent et te figent sans rien voir clair, même devant le callipyge et je me ras-le-bol de ton prestige.
Qui es tu pour me juger ? Qui es tu pour ainsi me briser ? Je ne suis ni thiga ni goro pour me gruger Mais oui ! Je suis un poète farfelu et déguisé.
Je ne peux m’empêcher d’écrire ces quelques verts, qui me traversent l’esprit depuis hier. Et ces mots qui tournent autour de moi, tel ces papillons autour d’un phare.
Si la vie ne te sourit pas Chatouille la Si la vie ne châtie pas mord la
Voilà que tu vivras ambitieux sans être peureux mais bienheureux. Alors qui pour nous sauver ? Mais qui pour nous choyer ?