Chairs putrides nourrissent mes narines d'infectes relents, De ces corps en lambeaux brisés par la souffrance, Courbés par l'effort de ta funeste présence, Coeurs arrachés du sein maternel, triste temps...
De ces corps en lambeaux brisés par la souffrance, Dont les effluves fétides révoltent clairement, Les charognes abreuvées aux sources de ton sang, Dégoûtées par ces horreurs, c'est une évidence,
Dont les effluves fétides révoltent clairement, Ton âme carbonisée aux flammes de tes erreurs, Grandissant au seuil de ta bêtise, c'est bien l'Heure... Tu cambres tes reins dans un spasme agonisant,
Ton âme carbonisée aux flammes de tes erreurs, Brise tes larmes au goût de cendre et de trépas, Egorgé dans son lit par la paresse bien là! Goûte à ces tortures qui ébranlent tant tes pleurs...
