A l'épieu du bonheur, ton cœur aventurier A dénoué l'espoir blotti dans mes paupières. Le couple en osmose, que tu sais magnifier, Sur l’amer des départs tangue et perd ses repères.
Je ne peux pardonner, car l’affront a noyé L'once de tendresse que mon cœur solitaire Engouffrait dans l'oubli, quand mon être ployait Au blizzard de l'absence et l'enfer de se taire.
On a eu de beaux jours; ce ne fut qu'un éclair, Le temps d'avoir l'enfant que ton amour volage Lui ravit le sourire et ternit l'univers. Mais, à présent, pour lui, tu n'es plus qu'une image.