Au nez de toutes les années mortes Elle a frappé soudain la porte ‘’ Que veut-elle de moi encore’’ Le cœur et l’amour…tout est mort
Depuis longtemps que je suis né J’ai souvent vu mourir des chers Ma soeur, mon père et mes frères Même ma mère a tant souffert
Comment voulais-tu que je t’aime ? On m’a volé tous mes poèmes. Même les lettres du mot ‘’ Aimer ‘’ Le ‘’ A ‘’, le ‘’ I ‘’ et même le ‘’ M ‘’ Et tu me dis encore je t’aime ?
Ô bien-aimée…..Jérusalem. Tes larmes amères …je les revois Et je comprends …et je crois Que tout le monde va mourir Et toi aussi…mais comme les rois
Pour moi, ma femme est plus fidèle Que toi, elle …que toute belle Elle me disait …m’a alerté …. ‘’ Ta ville sera désertée ‘’ Je me moquais un petit peu Et je me disais – s’il se peut : ‘’ Ma femme, c’est la liberté ‘’
Car quand tu aimes, il faut savoir Même connaître la gloire Il faut aimer toute couleur Le bleu, le blanc, même le noir Enfin …quand tu ris, quand tu danses Je peux te donner une alliance En te disant ‘’ Merci d’avance ‘’