A Trop s’aimer, on se fait mal. Et pourtant, Dieu comme on va bien ! Si tes mots nous sont fatals, Alors non mon Amour, non ne dis rien…
A trop s’aimer, on se rend fous, On s’emprisonne et on s’aliène. L’or des traverses n’est pas pour nous. Pourquoi nous enliser dans nos peines ?
Laissons-nous libres puisque l’on s’aime ! Car s’enchaîner est bien trop triste. Laissons-nous vivre puisque l’on s’aime ! A trop se priver, on se laisse vides.
Ce combat n’est pas le nôtre. Je demande une trêve. Notre ciel n’est plus rose. Il est devenu l’ombre d’un rêve.
Arrêtons donc de nous détruire ! On est si beaux lorsque l’on s’aime ! Cessons vite de nous haïr ! Avant que nous échappe l’Eden…
Laissons-nous libres puisque l’on s’aime ! Car s’enchaîner est bien trop triste. Laissons-nous vivre puisque l’on s’aime ! A trop se priver, on se laisse vides.
Arrêtons là ! Posons les armes ! Je ne veux plus que l’on pleur. Il n’y a aucune raison qui vaille Nos cris, nos plaintes et nos peurs.
Tu es mon homme, mon cœur, ma vie… Sans toi, je peine à respirer. Je veux un « NOUS » à l’infini. Je veux t’entendre murmurer…
Je te veux libre puisque je t’aime. T’enchaîner serait bien trop triste. Je te laisse vivre puisque je t’aime. A trop te priver, je te laisse vide.
Laisse-moi libre puisque tu m’aimes ! Car m’enchaîner est bien trop triste. Laisse-moi vivre puisque tu m’aimes ! A trop me priver, tu me laisses vides.
Et si l’on s’aime pourquoi pleurer ? Et si l’on s’aime pourquoi saigner ? Crois moi : rien ne peut nous freiner Dans notre course passionnée…