Ton âme pleine de blessures, Mon cœur se fissure, Pour que tu vives encore, Je t’abandonnerais mon corps, Et quand tu iras mieux, Je rouvrirais les yeux, Mais mon silence est d’or, Lorsque ton être s’endort, Je scrute l’horizon, Afin de trouver la raison, Seule toujours je marche, Dans le but d’atteindre ton arche, Enfin mon état catatonique, Te fait sentir l’unique, Présence de cette odeur, Avant que je ne meure…