Dans le vert émeraude, De tes grands yeux, Je t’écris une ode, Comme à un amoureux, Je lis dans ton regard, Que ton être fragile, Bien plus souvent s’égare, Qu’il ne devient viril, Alors je t’apprends la vie, En échange du bonheur, A présent je souris, Lorsque c’est notre heure, Tu me conduis à la puissance, Et mon pouvoir éternel, Te donne l’existence, Désormais tu es sentinelle, Je me réveille apeurée, Quand tu disparais, Je n’ai fais que rêver, Pourtant cela semblait si vrai…