L’amour dont tu parles Qui décore les bals Ne m’est jamais apparu Je n’ai pas encore vu Ni ses étincelles Ni ses ailes Parait-il qu’il y a des œillets sur son front Qui bougent au moindre vent Combien de fois j’ai attendu à sa porte Pour boire l’air qu’il apporte Parait -il qu’il y a une heure du jour Où il descend du haut de sa tour Comme un bouillonnement De flammes en furie Et brûle aspire dévore Bête, hommes et femmes En un clin d’œil L'amour dont tu parles!