Quand tu pleures Mes joues se constellent de tes larmes Quand tu souffres Mon cœur déchiré saigne de ton sang Quand tu te perds Dans ton néant brulant je m’égare. Quand je me regarde Ce sont tes mains chaudes que je contemple Quand je prie C’est pour toi mon Unique que j’ai peur Quand je me sens mourir C’est ce nous infini et tenace que j’assassine.
Alors je m’invente des rires Pour éclairer ton cœur lourd Je danse sur notre vie future Pour qu’elle illumine tes heures Et je te construis des palais de rêve Pour que tu y dormes en paix.