Douce femme aux mains de braise Elle encaisse ta haine Mais plus encore tes peines De chienne affaiblie
Femme de caverne Elle branle les yeux Arrose les vignes Et capture la vie Abreuve le peuple de son âme défraîchie Et retourne à lui L’homme qu’elle aime
Indienne en coton Qui mélange les tons Elle déhanche les plaines En frôlant l’extrême Pour atteindre le poison
Vibrante sous son arche Elle perfectionne sa démarche Active sa hache Et perfore les cloisons Indienne de sang Indienne dans l’ temps Elle cherche tout l’ temps Son homme des champs...