au jardin de la musique assis à la table du silence je rassemble des pensées fragiles dans des jarres noirs près de nuages blancs je tends des mains affamées de vol je rencontre les oublis me pousseront des ailes en plumes et pas en amadou, je défie le soleil au nom des Icarus pour leur rêve interdit le vol des l'âmes aspirant aux sommets pleins d’émotions explosives en donnant l'assaut à mon corps, le cassant en fragments un simple jeu d'enfants ... et alors? je vol ...