Mon homme ma douceur mon imaginaire de Vie Je voudrais pour amante La brisure de ta lèvre - Et voilà que surgit la poésie Infinie presque tout un étang de Confiseries
Mon amour Je t’offre mes petits riens de vie avec la générosité confus Je te les offre Ainsi que le ferait un lanternier avec ses doigts de neige a
Je t’offre aussi le fleurissement des Parapets Les paysages de moi Saisis dans un ossuaire de mains Voilà Je t’offre Paris Ses déhanchements nocturnes L’érotisme de sa langue Sa mécanique de verre Je t’offre l’effeuillée d’un poème Celui-là Conçu dans l’ample symphonie de nos Restes à venir