Nous sommes assommés par la féerie des marche-pieds Par l’opulence des oiseaux Nous vivons un monde rampé par le métal dévoré par l’ Incontinence
Tous les jours je ressens la proximité de la mer L’imminence de la mort La bave éteinte des Océans
C’est là – le grand parapluie d’ Amour Les enfants roulent derrière les os de la Montagne Paris a des allures de Chenapans des remontrances à faire aux énormité de ses Tours Et la pluie très mauve balaye l’espièglerie des paysages
Je pleure L’incidence des pleurs s’opère en même temps que mes sanctua Ecritures Je suis poète et quoi d’autre encore J’ai de la mort plein la poche Je renifle les allumettes et leurs pauvretés Eteintes Il fait une nuit si claire qu’on dirait mourir des Anges
Je ne voudrais plus vivre seul Me rompre aux lustres de la solitude Et manger un autre alcool que celui du déhanchement des chou Toit