N'a-t-on jamais compté, tous les deux enlacés Ces jours où le ciel s'ouvrait pour nous éclairer. De si sublimes instants, je ne fais qu'y penser, A m'en rendre malade pour ne pas oublier.
S'égrenent les minutes ainsi que les secondes. Je saurais patienter mais l'attente est immonde. Nos retrouvailles seront, je le crois, très profondes. Mon Amour tu me manques et mon coeur souffre et gronde.
Dans tout Amour sincère, la pitié ne prend place. Mais tu as du respect, ça ne fait aucun doute. Alors je survivrai, et ce, quoi qu'il m'en coûte.
Après de si beaux jours, la rancoeur ne peut pas Envahir mon coeur car il te faut décider Et que ta vie soit belle, je ne fais que passer.
