Tu trembles et ton cœur se brise, Tu te dis : Si seulement, Si seulement, Si seulement… Continuer le combat.
Et l’eau salée coule dans ton sang et tes veines. Tu te dis : Non pas comme ça, pas comme ça, pas comme ça… Ne pas baisser les bras.
Tu donnerais n’importe quoi Tu élèverais la voix Mais ils ne t’entendraient pas. Et pourtant cela ne t’arrêterait pas.
Personne ne meurt vraiment, On ne fait que passer de l’autre côté Une fois disparu, le monde ne cesse de tourner.
On continuera à vivre et à élever la voix contre la détresse Jusqu’à ce que la haut dans leurs palais Ils t’entendent enfin.
Trouver la réponse est bien une obsession humaine Mais autant parler aux pierres, aux arbres, à l’océan Car personne ne sait Et si peu comme toi savent voir, Que dans l’obscurité Il existe la beauté, l’amour et tant de compassion
Personne ne meurt vraiment, On ne fait que passer de l’autre côté Une fois disparu, le monde ne cesse de tourner.
On continuera à vivre et à élever la voix contre la détresse Jusqu’à ce que la haut dans leurs palais Ils t’entendent enfin. Et que chacun un jour ait un toit pour dormir.