Il était une fois l’histoire d’un garçon Qui vint au monde en un lieu sacré Dans les mains d’une sainte femme, Portant une veste rouge aux odeurs de vieux cuir et de désin Promenant un bouledogue près d’un lac.
Rien de plus qu’un enfant tenant la main de sa mère et donna Son regard perdu au loin vers ce père vivant de l’autre coté
Sur le bastingage d’un navire sur une rive lointaine Celui ci contenait ses larmes. Il songeait à cette maison, A ses odeurs de bois sur le parquet ciré, A ce fils qu’il connaissait à peine et qui jouait seul.
A ce doux moment de sa naissance Et la chaleur qui émanait de son corps de bébé A d’étranges visions brumeuses de dieu qui transforme les vi
Son père quitta son travail pour se rapprocher de lui Et alla enterrer ses rêves au fond d’une mine. Un jour l’enfant fut attaqué par une nuée d’abeilles venue d Une douleur immense l’envahi comme si son corps brûlait. Une douleur immense et infinie.
«Père, mère asseyez-vous près de moi, Père, mère rafraîchissez-moi la mémoire. Parlez moi des histoires que vous connaissez Du lever de soleil sur la baie. »
Car demain sur l’horizon Mon immense douleur reviendra A l’intérieur De cette étrange machine Qu’on appelle le cœur.
De cet étrange moteur Qui bat et a peur De regarder la bas Au loin vers l’horizon
Cette immense douleur Fixée dans les profondeurs Cette joie, cette peine toute cette terreur A l’intérieur De cette étrange machine Qu’on appelle le cœur.
Cet amour A l’intérieur Dans l’obscurité de la nuit Sous le soleil ou la pluie