Amertume plongeante de l'ennui, Qui m'enserre dans ses tourments, Me précipite dans l'obscurité De la nuit Pour me rappeler le souvenir D'un instant.
Amertume revigorante de la mort, Qui m'enlise dans un nuage De sanglot, M'enterre dans un dernier Corps à corps Pour me détourner de ton Sourire, un ego.
Amertume déroutante d'une Histoire, Qui m'empêche de déceler La réalité, M'arrache le cœur dans un Semblant d'espoir Pour me couvrir de honte Face au miroir de l'âme, Nos velléités.