Je ne vois que l’ombre de ton Silence, Le parfum discret de ta voix, Le léger murmure quand tu frôles Mon insistance, Un sourire, une image floue qui Gît souvent au creux de mon émoi.
Je ne ressens que le zeste des Sous-entendus, L’écho d’un son rauque qui se Perd dans ma mémoire. Les bousculades incessantes qui M’empêchent de retrouver ta vertu, L’essence de mon rêve que j’ai Rencontré près d’un arbre, Un fruit défendu, graine d’espoir.
Je ne côtoie que les personnes Ui veulent bien me comprendre, Je me moque d’être considéré Comme un handicapé. Mes pensées vous montrent que Je suis là aussi pour apprendre, Et surtout de ne pas me laisser faire, Et encore moins de me laisser marcher Sur les pieds.